La petite histoire
Passionnée de musique, j’étais salariée dans le milieu culturel à Nantes. Lors d’un voyage au Liban en 2009 avec mon conjoint, Marc, franco-libanais, j’ai découvert un produit culinaire à couper le souffle !
J’ai été totalement séduite par la fameuse « man’ouché » : une galette ancestrale libanaise cuite sur un dôme : le « saj ».
J’ai eu envie de faire découvrir ce mets délicieux à Nantes, ma ville.
Cette galette est à la base de l’alimentation quotidienne des Libanais.
J’ai profité de mon séjour au Liban pour apprendre sa conception. J’ai eu la chance d’être formée par un professionnel au cœur des montagnes libanaises, à Faraya : préparation et cuisson de la pâte, entretien du four, gestion et présentation des garnitures.
J’ai été totalement séduite par la fameuse « man’ouché » : une galette ancestrale libanaise cuite sur un dôme : le « saj ».
J’ai eu envie de faire découvrir ce mets délicieux à Nantes, ma ville.
Cette galette est à la base de l’alimentation quotidienne des Libanais.
J’ai profité de mon séjour au Liban pour apprendre sa conception. J’ai eu la chance d’être formée par un professionnel au cœur des montagnes libanaises, à Faraya : préparation et cuisson de la pâte, entretien du four, gestion et présentation des garnitures.
J’ai alors investi dans l’achat de l’appareil indispensable à la cuisson de la man’ouché que j’ai ramené en France. L’idée était de faire découvrir la galette à mon entourage… qui a adoré et m’a conforté dans l’idée d’ouvrir mon restaurant.Le premier établissement ouvre en 2011, chaussée de la Madeleine, avec le soutien de mon père chef cuisinier à la retraite. A l’époque nous faisions les galettes au rouleau à pâtisserie !
La man’ouche cuite en directe sur le saj était servi sur plateau, sans couvert, comme au Liban.Très vite, j’ai été bien entourée : Mon père dans un premier temps, puis ma mère, qui a tout fait pour m’aider dans le quotidien du restaurant, et Marc mon conjoint, « le » Libanais de l’histoire, qui a mis de côté son activité de journaliste reporter, pour venir nous rejoindre et me soulager quand nous avons eu notre premier enfant et finalement, qui n’est jamais reparti…
Fort de notre succès, il a fallu pousser les murs. Nous avons déménagé pour un nouvel établissement plus grand, ouvert en juin 2015.
La man’ouche cuite en directe sur le saj était servi sur plateau, sans couvert, comme au Liban.Très vite, j’ai été bien entourée : Mon père dans un premier temps, puis ma mère, qui a tout fait pour m’aider dans le quotidien du restaurant, et Marc mon conjoint, « le » Libanais de l’histoire, qui a mis de côté son activité de journaliste reporter, pour venir nous rejoindre et me soulager quand nous avons eu notre premier enfant et finalement, qui n’est jamais reparti…
Fort de notre succès, il a fallu pousser les murs. Nous avons déménagé pour un nouvel établissement plus grand, ouvert en juin 2015.
Gaëlle Derennes
Fondatrice de Manaïche
Fondatrice de Manaïche



La personne avec moi, grâce à qui tout a été possible,
est sirien et s’appelle NEEMAN